De ma fenêtre, je vois...
Publié le 17 Juillet 2009
C'est avec un défi proposé par Philippe (voir dans les liens : "des nouvelles de moi") que je vous reviens après 15
jours de vacances en Crète.
J'ai ramené dans mes bagages du bleu, du bleu, du bleu et encore du bleu... cela vous étonne ?
De ma fenêtre, je vois... ou plutôt de la fenêtre car ce n'est pas ce bleu intense, cette mer à peine ridée, ce soleil radieux que je vois de la mienne ! C'est celle d'un endroit que je viens de quitter il y a quelques jours à peine.
De la fenêtre donc, je vois... QUOI ?
J'ai beau scruté, je ne vois rien, nada, niente, niets, nichts, nothing !

C'est un peu court me direz-vous. Je pourrais écrire bien plus mais encore ?
Et si je plongeais dans cette eau-là ? Que me dirait-elle ?

Qu'elle a vu des larmes tomber lentement dans ses profondeurs,
qu'elle a vu des silences trop pesants lui parler,
qu'elle a vu des bonheurs déposés doucement comme des offrandes,
qu'elle a vu des tourments lui plisser souvent la surface,
qu'elle a vu ...

Nada, niente, niets, nichts... néant !
J'ai ramené dans mes bagages du bleu, du bleu, du bleu et encore du bleu... cela vous étonne ?
De ma fenêtre, je vois... ou plutôt de la fenêtre car ce n'est pas ce bleu intense, cette mer à peine ridée, ce soleil radieux que je vois de la mienne ! C'est celle d'un endroit que je viens de quitter il y a quelques jours à peine.
De la fenêtre donc, je vois... QUOI ?
J'ai beau scruté, je ne vois rien, nada, niente, niets, nichts, nothing !

C'est un peu court me direz-vous. Je pourrais écrire bien plus mais encore ?
Et si je plongeais dans cette eau-là ? Que me dirait-elle ?

Qu'elle a vu des larmes tomber lentement dans ses profondeurs,
qu'elle a vu des silences trop pesants lui parler,
qu'elle a vu des bonheurs déposés doucement comme des offrandes,
qu'elle a vu des tourments lui plisser souvent la surface,
qu'elle a vu ...

Nada, niente, niets, nichts... néant !